A partir du trésor d’archives de la prison parisienne de Mazas, des témoignages de la vie quotidienne des détenus sont fusionnés avec des plaques de verre anonymes. A contrario, Arthur Rimbaud en fugue familiale pour rejoindre la Commune y séjourna. Là réside ce mitard imaginaire de corps masculins et féminins à surveiller et punir.
La série s’envisage comme le négatif de cette restauration des images que la seconde génération de la déportation a engagé. Les tirages au platine donnent matière et pérennité à ces précipités de mémoire, un photolangage.
DominanteNoir d’y voir ModeScarification SiteArchives EnjeuxLa mémoire historique
Tirage platine noir et blanc 60x46 cm
Papier velin d’Arche
Pièces uniques |
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